Construction d'une maison passive et durable en Lorraine
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Des matériaux d’origine végétale ou animale peuvent être utilisés lors de la construction de bâtiments. Ces matériaux sont communément qualifiés de biomatériaux ou de matériaux biosourcés : il s’agit notamment du bois et de ses dérivés, du chanvre, de la paille, de la plume ou de la laine de mouton. Ils présentent deux atouts principaux sur le plan de l’environnement : d’une part, la matière dont ils sont issus est renouvelable, d’autre part, ils peuvent contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et au stockage temporaire de carbone. La création d’un label bâtiment biosourcé permet de mettre en lumière cette qualité environnementale et de valoriser les démarches volontaires des maîtres d’ouvrage intégrant une part significative de ces matériaux dans leur construction.

Le décret n° 2012-518 du 19 avril 2012 instaure l’appellation « bâtiment biosourcé » pour les « bâtiments nouveaux intégrant un taux minimal de matériaux biosourcés et répondant aux caractéristiques associées à ces matériaux ». Un arrêté ministériel déterminera les conditions d’attribution précises.

 

En France, la construction de logements passifs demande un investissement de 1400€ par m² shon. En Belgique, on trouve des projets à seulement 1000 €/m². Si construire passif revient moins cher sur le plat pays, c’est en partie grâce aux coûts inférieurs des équipements. 

A lire sur LeMoniteur.fr : Construire passif: combien ça coûte ?

Vendredi 27 avril, la FFB 44 donne le coup d’envoi de l’opération Villavenir + Atlantique. Des logements sociaux individuels à énergie positive au sein d’un éco-quartier, un cahier des charges RT 2020, un lieu de formations professionnelles pendant 2 ans… des spécificités qui en font une première en France.

A lire sur LeMoniteur.fr

« Bravo ! »

 

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A lire également dans le numéro actuel de la maison écologique, le guide des isolants 2012.

De bonnes idées à voir dans ce reportage :


Maison BBC à ossature bois bioclimatique par Pascalf

Dans cette période de campagne présidentielle, la politique électronucléaire de la France est devenu un thème de débat majeur mais qui reste relativement confus. Aussi le rapport que la Cour des comptes vient de publier sur « les coûts de la filière électronucléaire », et qu’elle a préparé en réponse à une demande faite par le Premier ministre au lendemain de Fukushima, est-il particulièrement intéressant. Cette étude approfondie et très documentée permet de comprendre comment sont calculés les coûts du nucléaire mais aussi de porter un jugement sur la fiabilité des chiffres utilisés et de relativiser le poids des incertitudes par rapport au coût global. Elle met aussi en lumière l’importance stratégique de la durée de fonctionnement des réacteurs actuels et la nécessité de définir rapidement une stratégie explicite en matière de politique énergétique.

A lire sur cdurable.info

A écouter également : Coûts et bénéfices du nucléaire par franceculture

Thierry S­alomon est l’un des promoteurs en France du concept de négaWatt, et président de l’association du même nom. Pour lui, combiner efficacité énergétique et chasse au gaspillage permettrait de diminuer de 45 % notre consommation d’énergie. Cet entretien est à lire sur Télérama.fr. Morceaux choisis :

On nous a répété que, grâce au nucléaire, on serait moins dépendants du pétrole. Faux ! Nous en consommons 5 à 10 % de plus que nos voisins allemands.

 

Nous baignons dans une douce torpeur de l’ébriété énergétique. Chaque panneau vidéo de pub consomme autant que deux familles.

 

Il y a un gigantesque gisement, fait des innombrables possibilités d’économiser l’énergie dans nos maisons, nos voitures, nos ordinateurs, et aussi dans l’urbanisme, notre mode d’alimentation…

 

Avec la sobriété, on se heurte à l’obsession de la croissance et de la consommation. Comment voulez-vous inaugurer en fanfare l’isolation d’un bâtiment ?

 

« Karawitz » : un cabinet d’architecture qui fait parler de lui dans le  domaine des maisons basse-consommation.

A lire dans : Le Courrier de l’Architecte

Pour la récupération d’eau de pluie, difficile de trouver un consensus dans le dimensionnement d’une cuve. J’ai choisis de prendre 7500 litres malgré la toiture végétalisée (180m²) qui retiendra un peu d’eau. Je dois prendre une cuve en PE (plus chère que le béton) pour une question d’accessibilité du chantier.

Maison passive à Villennes-sur-Seine

Aujourd'hui, 8h17

Nicolas Huillard vous invite à suivre la construction de sa maison passive à Villennes-sur-Seine (Yvelines) en direct ! Des améliorations fonctionnelles sont prévues.

Des Techno-Pieux au repos...

Les technopieux inclinés ont demandé une solution adaptée

La platine

C’était quasiment la dernière journée pour l’équipe de Techno Pieux Sarre. Il ne reste que les platines des pieux obliques pour la terrasse à souder.

Ils ont commencé dans la pluie, le vent et la boue pour finir avec le gel. Les conditions n’étaient pas optimales mais qu’importe : super technique pour des super pros !

J’en profite pour partager les notes que j’avais prises lors de mes recherches sur les techno-pieux :

  1. Techno-pieux est le leader mondial en fondations vissées. C’est une société canadienne qui exploite deux usines et un centre de recherche entièrement dédiés à la technologie des pieux vissés. (http://www.technopieux.com )
  2. Son représentant en France est « TECHNO PIEUX France » à REDING (57445) représenté par Paul Thomann (SIRET 45160333600020)
  3. Sur 17 ans d’existence et au niveau mondial, ils n’ont eu aucun sinistre. Cette technique permet également de faire une relève de fondations sur des bâtiments sinistrés.
  4. Les techno-pieux sont les seuls éléments de fondations qui disposent  d’un avis technique (n°: 3/09-602) du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment).
  5. Une étude de sol est requise avant les travaux afin de dimensionner les pieux et estimer le coût de ceux-ci.
  6. Les techno pieux ne sont installés que par des  installateurs certifiés ayants suivi une formation technique et pratique organisée par la compagnie Techno Pieux.
  7. Les pieux sont plantés à l’aide d’une machine spécifique qui certifie l’arrachement et la charge maximale admissible garantie en fonction de l’architecture du pieux, du couple du planétaire et du type de sol. Chaque pieu est ainsi certifié pour une charge maximale admissible lors de sa mise en place. L’ensemble des informations figurent sur un compte rendu d’exécution.

Le polyuréthane giclé à cellules fermées pose de nombreuses questions en raison des agents de gonflement qu’il contient et qui génèrent des gaz à effet de serre. La certification américaine « maison passive » (PHIUS) a décidé que son usage empêcherait la certification.

A lire sur Écohabitation.com

À en croire la ministre de l’Écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, la France sera bientôt couverte de bâtiments écologiquement exemplaires. Et ce grâce à la nouvelle réglementation thermique (RT2012), qui encadre désormais les constructions neuves. Manque de formation des professionnels, mauvais calculs des performances thermiques, faibles contrôles et absence de transparence : quand la révolution promise se transforme en imposture.

A lire sur Basta! : Des bâtiments écolos en France : ce n’est pas pour demain ! – Réglementation thermique.

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