Construction d'une maison passive et durable en Lorraine
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Les communes peuvent désormais créer un service public de gestion des eaux pluviales financé via une taxe. Les propriétaires de système de récupération d’eau de pluie pourront bénéficier d’abattements sur ce nouveau prélèvement.

A lire sur Le Moniteur.fr : Une taxe incitant les propriétaires à s’équiper de systèmes de récupération d’eau de pluie

La petite communauté de communes de Mené, dans les Côtes-d’Armor, s’est inspirée de la démarche négaWatt pour relever le défi de l’autonomie énergétique et parvenir, d’ici à 2030, à satisfaire ses besoins énergétiques à l’aide des seules ressources renouvelables locales.

Article à lire également sur habiter-vert.com

 

 

A lire sur Marianne2.fr :  Hold-up sur les énergies vertes.

Le plus gros casse du XXe siècle pour ce qui regarde le bradage des intérêts publics au profit du secteur privé a été celui des autoroutes, effectué sous la présidence Chirac.

Le record du XXIe siècle dans le domaine du gachis industriel pourrait bien, lui, revenir à Nicolas Sarkozy avec la récente manoeuvre orchestrée depuis l’Élysée pour provoquer un phénomène de concentration dans le secteur de l’énergie verte.

A lire sur : Sa maison passive l’a transformé en actif – Lannion-Perros

A lire sur : maville.com

 

Une réalisation à voir sur le site de « Maison Bois Kokoon » : 700 m2 en BBC : un record pour une maison en bois

 

A lire sur maisonapart.com : « Une maison isolée jusqu’aux moindres recoins« .

En Alsace, des entreprises locales se sont réunies pour construire une maison « idéale », passive, confortable été comme hiver et isolée de manière pointilleuse. Derrière le bardage en mélèze, se cache un bâtiment où aucun détail n’a été laissé au hasard pour atteindre des performances thermiques exemplaires.

 

 

A voir sur :  archicontemporaine.org

Le compte rendu de lamaisonpassive.fr sur la 15ème conférence sur la maison passive (Innsbruck) est à lire ici :  Spécial Innsbruck : le Passif passe du m² au km²

A lire également le compte rendu (avec des photos!) sur les nouveautés du salon : [PDF – 20 Mo]

 

Deux petits articles sur les maisons passives à lire dans la presse en ligne :

Mulhouse et sa région | Le secret des maisons passives – L’Alsace.

Les conseils de Thomas et Caroline pour construire une maison écolo

Un article à propos du livre « Les Profiteurs du développement durable » de Yvan STEFANOVITCH :

L’Allemagne n’a pas attendu des années pour tirer les leçons de la catastrophe de Fukushima. Ce qui n’est en France que le nom d’un mouvement contestataire – Sortir du nucléaire – deviendra bientôt une réalité outre-Rhin. En 2022, le dernier des 17 réacteurs du pays encore en activité s’arrêtera. Les énergies renouvelables auront alors pris leur essor. L’éolien et le photovoltaïque représentent déjà 9 % de la consommation d’électricité de nos « cousins germains », contre 1,8 % en France. L’industrie allemande des énergies vertes est sans doute la seule au monde à pouvoir tenir tête au rouleau compresseur chinois. Elle emploie plusieurs centaines de milliers de salariés. Autant que l’atome dans l’Hexagone !

La France disposait pourtant d’entreprises à la pointe de l’innovation dans les années 1990. Elles ont été étouffées par le lobby nucléaire. « Rien n’a vraiment changé depuis Louis XIV », déplore le journaliste d’investigation Yvan Stefanovitch, auteur d’une enquête fouillée sur « Les Profiteurs du développement durable ». « Du fait de l’inexistence du pouvoir régional, les initiatives locales n’émergent pas. Tout se passe à Paris où, avec la connivence de l’État, le club des cinq de l’énergie (EDF, GDF-Suez, Veolia, Total et Areva) se contente d’empocher les profits des énergies renouvelables les plus juteuses, sans qu’une véritable structuration des filières soit mise en œuvre.

 

A lire sur le SudOuest.fr : « Énergies vertes : le club des cinq empoche la mise »

Suite de l’étude d’Enertech sur la conception des bâtiments BBC avec aujourd’hui, l’eau chaude sanitaire.

Olivier Sidler constate une mauvaise conception des installations étudiées : surdimensionnement et pertes importantes engendrées par les bouclages d’eau chaude sanitaire (rendement global hors génération 44,8%)

A lire sur Le Moniteur.fr : Eau chaude: ce qu’il faut changer pour que le BBC devienne réalité

Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l’erreur. Avec le nucléaire, elle s’obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d’autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique.

Il est des leurs. Enfin, il était des leurs. Polytechnicien, physicien nucléaire, Bernard Laponche a participé, dans les années 1960, au sein du Commissariat à l’énergie atomique, à l’élaboration des premières centrales françaises. La découverte des conditions de travail des salariés de la Hague sera pour lui un choc : il prend conscience du danger de l’atome, qu’il juge moralement inacceptable. Dès les années 1980, Bernard Laponche, désormais militant au sein de la CFDT, prône la maîtrise de la consommation énergétique et le développement des énergies renouvelables. Les décennies suivantes lui ont donné raison. Mais la France, seul pays au monde à avoir choisi l’option du tout-nucléaire, s’obstine dans l’erreur, déplore-t-il, et s’aveugle : énergie du passé, sans innovation possible, le nucléaire ne représente pas seulement une menace terrifiante, pour nous et pour les générations qui suivront ; il condamne notre pays à rater le train de l’indispensable révolution énergétique.

A lire sur Télérama.fr : Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d’un accident nucléaire majeur en Europe”

La 15ème conférence internationale du « Passivhaus » a rassemblé, fin mai, plus de 1.200 participants, de près de 40 pays, à Innsbruck en Autriche dont Ulrich Rochard, ingénieur au bureau détudes Pouget Consultants. De retour, il fait le point sur le développement du concept « Passif ».

à lire  « Le mouvement « Passivhaus » connait une forte dynamique à travers le monde entier » – Le Moniteur.fr.

Le niveau d’exigence de la future réglementation thermique rend nécessaire une nouvelle organisation de travail entre le maître d’ouvrage, le maître d’œuvre et l’ingénierie. Il faut aller, dit-il, vers une véritable synergie entre l’action des différents partenaires, le tout assorti d’une qualité de réalisation et de maintenance sans faille. Il conviendra par ailleurs de mieux prendre en compte la pertinence économique des produits et des concepts.

La suite sur Le Moniteur.fr

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